L’architecture d’aujourd’hui est consciente de l’urbanisation comme changement majeur et définitif qui modifie en profondeur les sociétés, leurs valeurs, leurs modes de vie, et qui situe les villes comme moteurs économiques, sociaux, culturels et comme foyers de risques collectifs en matière d’environnement, de santé, de précarité et d’exclusion.
La gestion de la production architecturale et urbaine comme moyen de lutte environnementale et sociale est un point central de notre avenir commun. Elle a un rôle crucial à jouer en tant que levier d’action et de transformation du monde qui nous entoure.
Par ailleurs, il est également illusoire de considérer que l’urbanisme et l’architecture peuvent, à eux seuls, redresser la courbe des risques sociaux et environnementaux.
Malgrè les efforts l’idée de l’action est déjà obsolete. C’est pourquoi il est aussi essentiel de concevoir et d’imaginer l’architecture comme moyen de protection du vivant.
Par ailleurs, il est également illusoire de considérer que l’urbanisme et l’architecture peuvent, à eux seuls, redresser la courbe des risques sociaux et environnementaux.
Malgrè les efforts l’idée de l’action est déjà obsolete. C’est pourquoi il est aussi essentiel de concevoir et d’imaginer l’architecture comme moyen de protection du vivant.
Comment vivre l’augmentation généralisée des températures en milieu urbain et rural ? Comment se garantir l’accès aux ressources énergétiques et alimentaires dans un monde interdépendant qui montre ses limites et fragilités ?
L’architecture d’aujourd’hui endosse de nouveaux rôles et de nouvelles responsabilités. Elle doit être un garant des générations futures tout en apportant de la stabilité au vivant d’un monde devenant plus instable.
Photographie : Courtoisie Nathalie Viel